Il y a quelques années, il y avait une belle caissière blonde. Inoubliable. Sacrément beau. Quand je la voyais, elle flirtait sans cesse jusqu’au jour où j’ai eu son numéro de téléphone. La veille de Noël, je me suis dit : “Appelons-la. C’est dit, c’est fait. Je l’appelle et l’invite chez moi. Mes colocataires étaient tous partis, donc assez d’intimité pour s’amuser. Nous nous retrouvons sur le canapé avec une boisson, une collation et un film d’horreur : Halloween. Vous savez, le gars avec le masque et le couteau qui tue tout le monde. Avant que je ne m’en rende compte, nous étions en train de nous tripoter et de nous embrasser. Le film est terminé. Je veux tenter ma chance, mais elle l’arrête brusquement. Elle me taquine. Elle dit :
“Hé hé, doucement jeune homme. Je dois vraiment y aller maintenant, la prochaine fois ce sera plus amusant”.
La nuit suivante (le jour de Noël), j’ai travaillé jusqu’à tard. Parce que oui, malheureusement, je dois travailler à Noël. Elle m’appelle et me demande si je veux faire un tour avec elle dans le village pour voir les décorations de Noël du quartier. Quelques minutes plus tard, elle vient me chercher et roule sur des routes de campagne désertes. Nous parlons, rions et regardons les étoiles et les lumières de Noël des maisons. Nous nous garons à côté d’une ferme. Je suis assis sur le siège du copilote et elle s’assied sur mes genoux sans y être invitée. Nous nous embrassons et nous nous asseyons ensemble. Avec les mains sur ces fantastiques seins ronds. Je peux juste sentir ses tétons. Pas si fou, parce qu’il faisait froid dehors, c’est sûr.
Elle pose son jean moulant. Sans culotte, je peux voir sa belle chatte tout de suite. Serré avec une bande, comme s’il appartenait à une adolescente. Ma bite s’est durcie à la vue d’une belle chatte. Elle caresse mon pantalon avec ses mains pleines d’étonnement. Je dis :